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Kévin Granada Rios présente “Le Club des Dératiseurs”

Kevin Granada, présentateur du podcast de lutte antiparasitaire Le Club Des Dératiseurs
@Kevin Granada

Et si vous pouviez entrer dans la confidence des dératiseurs ? Avec Le Club des Dératiseurs, un podcast de référence dans la lutte antiparasitaire, Kévin Granada Rios ouvre un espace où les pros partagent sans filtre leurs galères, leurs réussites et leurs déclics. Dans les lignes qui suivent, découvrez son interview exclusive Viva Protect et la vision qui anime ce format inédit.

Monsieur Granada Rios, le podcast « Le Club des Dératiseurs » a suscité beaucoup d’intérêt. Pouvez-vous nous expliquer comment cette idée a émergé et quel besoin avez-vous perçu dans le secteur qui vous a poussé à créer ce podcast en collaboration avec Hamelin ?

Kévin Granada Rios – L’idée du podcast est née de nos nombreuses discussions entre professionnels sur le terrain. On passe des heures à échanger sur nos réussites, nos difficultés, ou des questions techniques, car personne ne maîtrise tout à 100 %. En entendant souvent les mêmes questions revenir, je me suis demandé : pourquoi ne pas créer un format qui parle à tous, débutants comme expérimentés ?

En tant que consommateur de podcasts moi-même, cela m’a paru une évidence. Le Club des Dératiseurs est ce moment où l’on appuie sur « play » et où l’on a l’impression de discuter entre confrères.

Qu’est-ce qui différencie « Le Club des Dératiseurs » des autres formats de communication existants dans le domaine de la lutte antiparasitaire et de l’entrepreneuriat ?

Kévin Granada Rios – Ce qui fait la différence, c’est qu’on ne parle pas de produits, rats, souris ou de protocoles, on parle des gens. Ce podcast, c’est avant tout des parcours, des déclics, des galères et des rebonds. Il s’adresse à ceux qui ont choisi de se lancer à leur compte, ceux qui le sont déjà ou même des personnes en reconversion pro et à tous ceux qui se sentent parfois seuls dans cette aventure qu’est le métier de dératiseur. On y partage des anecdotes, des moments vrais, des réflexions qui peuvent inspirer, rassurer ou faire rire. C’est ce côté humain, brut et sans langue de bois qui fait la force du Club des Dératiseurs.

Les invités de votre podcast sont des acteurs clés du secteur. Comment sélectionnez-vous les personnes avec qui vous souhaitez échanger ? Quels critères privilégiez-vous ?

Kévin Granada Rios – “Le Club des Dératiseurs”, c’est un espace ouvert. On donne la parole à celles et ceux qui ont envie de partager, tout simplement. Pas besoin d’avoir 20 ans de métier ou une boîte à plusieurs millions. Ce qui compte, c’est l’histoire, l’envie de transmettre, de raconter un bout de son parcours. Évidemment, on échange un peu avant, on fait une ou deux visios pour préparer l’épisode et voir si le courant passe. L’idée, c’est de rester authentique tout en construisant un format fluide et agréable à écouter. 

Avez-vous relevé des défis particuliers lors de la mise en place du podcast ? Quels ont été les principaux obstacles et comment avez-vous réussi à les surmonter ?

Kévin Granada Rios – Oui, clairement ! Le premier obstacle, c’est que produire un podcast de qualité, ça a un coût. On ne voulait pas faire un truc à la va-vite, mais un vrai format pro, avec du fond et une forme agréable à écouter. Dès le départ, je voulais éviter que ce soit financé par un fournisseur ou une marque, parce que, pour moi, l’indépendance est essentielle. Sinon, on perd l’authenticité. C’est à ce moment-là que j’ai présenté le projet à Hamelin. Ils ont tout de suite accroché, ils ont compris la vision, et ils m’ont soutenu sans hésiter. Et puis, il faut dire aussi que… podcasteur, ce n’est pas mon métier ! Au début, j’étais un peu stressé, j’ai buggé quelques fois, mais je me suis lancé ce défi pour sortir de ma zone de confort. Et franchement, on progresse vite, et surtout, on prend du plaisir.

Pensez-vous que l’émergence de ce podcast va influencer la perception du secteur de la lutte antiparasitaire au sein des entreprises et du grand public ?

Kévin Granada Rios – C’est clairement l’un des objectifs. À travers ce podcast, on veut redonner à notre métier toute sa noblesse. On est trop souvent dans l’ombre alors qu’on fait un boulot essentiel, avec de vraies responsabilités de santé publique. Si on peut créer des vocations, donner envie à certains de rejoindre ce secteur ou simplement faire évoluer le regard qu’on porte sur nous, alors on aura gagné.

Et honnêtement, les retours que l’on reçoit montrent que le public est curieux, parfois fasciné par notre quotidien. On vit de vraies aventures, on est confronté à des situations inattendues tous les jours… Ce n’est pas un métier comme les autres. Et ça mérite d’être mis en lumière.

Comment voyez-vous l’évolution de ce podcast dans les mois à venir ? Y a-t-il des projets spécifiques que vous aimeriez développer pour offrir encore plus de valeur à vos auditeurs ?

Kévin Granada Rios – L’idée, c’est de sortir du studio et d’aller sur le terrain. J’aimerais beaucoup aller à la rencontre d’entrepreneurs inspirants aux quatre coins de la France, pour capter l’énergie locale, les parcours variés, et montrer la richesse de notre secteur. Et pourquoi pas faire des épisodes en live sur des événements pro, comme Parasitec par exemple ? D’ailleurs, j’en profite pour lancer un appel aux organisateurs ! Appelez-moi !

Source : Extrait du magazine Viva protect n.4 – été 2025

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